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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 18:57

Communiqué du 1er avril 2009 de Charlotte BRUN,

 Secrétaire nationale aux personnes âgées,

personnes handicapées et dépendance

 

 

 

Retraites : le gouvernement reste sourd aux difficultés rencontrées par les retraités

 

 

Le gouvernement accorde tout juste 1 % d'augmentation pour la retraite de base, c'est-à-dire pour l'immense majorité des retraités. Cette mesure ne permet pas de rattraper la perte de pouvoir d'achat subie en 2008. Elle entérine la diminution des pensions. Elle conforte une situation injuste socialement et dangereuse économiquement.

 

Le Parti socialiste souligne que la majoration de 6,9 % de l'allocation de solidarité aux personnes âgées ne concerne que les personnes vivant seules et exclut les ménages retraités et défavorisés. Faut-il rappeler au gouvernement que plus d'un million de personnes âgées subissent la pauvreté ? Aujourd'hui, près de la moitié des retraités vivent avec une pension inférieure au SMIC.

 

Derrière la bulle des effets d'annonce, ces mesures maintiennent le minimum vieillesse largement sous le seuil de pauvreté et ne répondent pas aux difficultés croissantes rencontrées par les retraités.

 

Les retraités, de plus en plus confrontés à des choix, ne sont pas dupes. Si la crise économique les inquiète tant, c'est bien parce que l'action gouvernementale a considérablement fragilisé leur quotidien : dégradation du niveau des pensions suite aux réformes BALLADUR et FILLON, quasi impossibilité d'accès aux soins en raison des nombreux déremboursements, des franchises médicales et des forfaits hospitaliers.

 

Le Parti socialiste propose dans son propre plan de relance une aide immédiate au pouvoir d’achat de 500 euros pour le minimum vieillesse et une indexation des retraites sur l'évolution du salaire moyen. Il est également partisan d'un effort de longue haleine en direction des 14 millions de retraités afin d'enrayer la spirale de baisse constante depuis 2002 du niveau des pensions.

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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 18:39

Communiqué du 22 avril 2009 de Marisol TOURAINE,

Secrétaire nationale à la Santé et à la Sécurité sociale

 

Le dérapage permanent

 

 

Les prévisions de déficit de la sécurité sociale 2009 sont encore en hausse. Après une loi de financement de la sécurité sociale adoptée à l’automne 2008 prévoyant un déficit inférieur à 10 milliards, corrigé à 12 milliards par le Ministre du Budget en janvier, tout indique que ce déficit franchira en réalité la barre des 20 milliards dès cette année. Alors que le gouvernement a fait preuve en la matière d’un manque coupable d’anticipation, les socialistes avaient, pour leur part, prévu cette dégradation lors du débat parlementaire de l’automne 2008.

 

Rétrospectivement, cela souligne l’hypocrisie de la loi de financement de la Sécurité sociale soumise au Parlement en novembre dernier et l’incapacité du pouvoir à maîtriser la situation financière. Des réformes de structure importantes sont nécessaires, que ni le PLFSS ni la loi Bachelot n’ont engagées.

 

Ce chiffre confirme par ailleurs l’ampleur de la crise de l’emploi et du pouvoir d’achat dans laquelle nous nous trouvons. L’aggravation du déficit de la sécurité sociale est le résultat de la diminution des recettes de la sécurité sociale, c’est-à-dire la traduction directe de la diminution de la masse salariale globale. Rappelons qu’un point de masse salariale représente environ 2 milliards de recettes pour la Sécurité sociale.

 

Face à ces perspectives, il est plus que temps de mettre en place un plan de relance - ce que le gouvernement refuse obstinément - fondé sur un soutien à la consommation, aux effets immédiats sur l’activité et donc sur l’emploi et le pouvoir d’achat, comme le font les Etats-Unis et de grands pays Européens.

 

En se murant dans ses dogmes, le pouvoir montre qu’il n’a rien saisi de la gravité du séisme social qui ébranle le système économique et menace notre système de protection sociale.


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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 18:25

Communiqué du 2 avril 2009 de Charlotte BRUN

Secrétaire nationale aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à la dépendance

 

Personnes âgées dépendantes : Nicolas SARKOZY trahit ses promesses

 

 

Le 5ème risque remis aux calendes grecques

Lors de la campagne présidentielle, Nicolas SARKOZY s’était engagé à créer un 5ème risque de Sécurité sociale en faveur des personnes âgées dépendantes.

 

 

De retards en atermoiements, l’amélioration du sort des personnes âgées dépendantes n’est manifestement pas le souci premier, du Président de la République.

 

Que le sort des personnes âgées ne s’améliore pas est une chose. Mais le Gouvernement vient de prendre deux décisions qui, à l’inverse, aggravent sensiblement la situation.

 

L’Etat diminue de 69 millions d’euros son concours à l’APA, mettant délibérément les départements en difficulté.

 

Ce mardi 30 mars, l’Etat, majoritaire au sein du Conseil de la CNSA, vient d’approuver la réduction à hauteur de 69 millions d’euros du concours qu’il apportait aux départements dans le financement de l’APA. Malgré l’opposition conjuguée des conseils généraux, des organisations professionnelles et des organisations syndicales, l’Etat a maintenu sa décision de diminuer son effort en faveur des personnes âgées dépendantes titulaires de l’APA.

 

Des centaines de maisons de retraite sommées de diminuer leurs moyens.

 

Dans le même temps, une simple circulaire budgétaire décidait que, dans plusieurs centaines de maisons de retraite, les ratios de personnel soignant devraient diminuer dans les 6 prochaines années… Alors que l’ensemble des professionnels se plaignent depuis des années de l’insuffisance d’encadrement dans les établissements, le gouvernement prend la décision surprenante d’expliquer à plusieurs centaines de maisons de retraite qu’elles ont…trop de personnels !

 

Ainsi, non seulement le Gouvernement renonce, pour l’heure, à créer un 5ème risque mais il met dans le même temps en place une politique de réduction des moyens en direction des plus fragiles. Voilà les personnes âgées transformées en victimes collatérales de la crise.

 

Non content de trahir ses engagements, le gouvernement vient de prendre à nouveau deux décisions qui fragilisent le quotidien des personnes âgées, les renvoyant peu à peu aux seules solidarités familiales.


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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 18:49

 

Communiqué du 1er avril 2009 de Charlotte BRUN,

 Secrétaire nationale aux personnes âgées,

personnes handicapées et dépendance

 

 

 

Le gouvernement reste sourd aux difficultés rencontrées par les retraités

 

 

Le gouvernement accorde tout juste 1 % d'augmentation pour la retraite de base, c'est-à-dire pour l'immense majorité des retraités. Cette mesure ne permet pas de rattraper la perte de pouvoir d'achat subie en 2008. Elle entérine la diminution des pensions. Elle conforte une situation injuste socialement et dangereuse économiquement.

 

Le Parti socialiste souligne que la majoration de 6,9 % de l'allocation de solidarité aux personnes âgées ne concerne que les personnes vivant seules et exclut les ménages retraités et défavorisés. Faut-il rappeler au gouvernement que plus d'un million de personnes âgées subissent la pauvreté ? Aujourd'hui, près de la moitié des retraités vivent avec une pension inférieure au SMIC.

 

Derrière la bulle des effets d'annonce, ces mesures maintiennent le minimum vieillesse largement sous le seuil de pauvreté et ne répondent pas aux difficultés croissantes rencontrées par les retraités.

 

Les retraités, de plus en plus confrontés à des choix, ne sont pas dupes. Si la crise économique les inquiète tant, c'est bien parce que l'action gouvernementale a considérablement fragilisé leur quotidien : dégradation du niveau des pensions suite aux réformes BALLADUR et FILLON, quasi impossibilité d'accès aux soins en raison des nombreux déremboursements, des franchises médicales et des forfaits hospitaliers.

 

Le Parti socialiste propose dans son propre plan de relance une aide immédiate au pouvoir d’achat de 500 euros pour le minimum vieillesse et une indexation des retraites sur l'évolution du salaire moyen. Il est également partisan d'un effort de longue haleine en direction des 14 millions de retraités afin d'enrayer la spirale de baisse constante depuis 2002 du niveau des pensions.

 

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 18:21

 

Communiqué du 18 février 2009 de Mireille LE CORRE,

Secrétaire nationale à la santé et à la sécurité sociale

 

 

Déficit de la Sécurité sociale : la politique gouvernementale enfonce le clou

 

 

Le ministre du budget a annoncé aujourd’hui que le déficit de la Sécurité sociale frôlera les 15 milliards d’euros en 2009. Le Parti socialiste prend acte de l’enterrement des promesses de la droite qui avait annoncé pouvoir atteindre l’objectif d’équilibre en 2011.

 

Ce déficit est le résultat de choix politiques précis, tant en matière d’emploi et de protection sociale que de politique sociale, qui conduisent à une dégradation de la situation sociale, générant elle-même de moindres recettes pour la sécurité sociale.

 

Le Parti socialiste constate en effet que plus de la moitié de la population vit avec moins de 1 400 euros mensuels. 50 % des ménages détiennent moins d’un tiers du revenu disponible tandis que 20 % parmi les plus riches en contrôlent au moins 37 %. La France connaît actuellement plus de 7 millions de personnes sous le seuil de pauvreté, dont 1,5 million d’enfants, 1 million de retraités, et plusieurs centaines de milliers de travailleurs pauvres. Il existe par ailleurs 4 millions de mal logés et au moins 100 000 Sans Domicile Fixe.

 

Les mauvais résultats constatés aujourd’hui, l’absence de marges de manœuvre financières, proviennent essentiellement des choix politiques imposés par une majorité présidentielle qui divise les Français, appauvrit le pays, gaspille toutes les marges de manœuvre.

 

Tout semble mis en œuvre pour fragiliser davantage les comptes sociaux aujourd’hui déjà très dégradés et présenter des contres réformes, de mauvais augure, notamment dans le domaine de la santé, qui génèrent injustice et impuissance face aux effets de la crise.

 

Le Parti socialiste rappelle qu’une autre gestion de la sécurité sociale est possible et nécessaire (réexamen des niches sociales, taxation des stock-options, remise en cause de la loi TEPA…) pour préserver le système de protection sociale au lieu d’organiser sa faillite.

 

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 18:13

 

Communiqué  du 4 mars 2009 de Mireille LE CORRE,

Secrétaire nationale à la santé et à la sécurité sociale

 

 

Déserts médicaux : l’inaction de la droite

 

 

Le nombre de médecins va diminuer de 10% les prochaines années. En outre, ils sont d’ores et déjà très mal répartis sur le territoire. Ce déséquilibre démographique engendre toujours plus d’injustices. Les jeunes médecins ne s’installent pas dans des régions jugées moins attractives. Quant à ceux qui y travaillent déjà, ils sont surchargés.

 

Avec les déremboursements, les franchises médicales, les déserts médicaux représentent une triste réalité qui éloigne, encore un peu plus, des millions de Français modestes de l’accès aux soins de qualité. Faute d’actions volontaristes, de nombreuses régions de notre pays manquent de médecins et d’équipements sanitaires.

 

La convention médicale de 2005, les mesures isolées, les vœux pieux ont fait long feu. Les augmentations d'honoraires sans contrepartie de santé publique ou de présence sur les territoires illustrent cette politique au coup par coup. L’offre libérale est insuffisante ; les pouvoirs publics doivent prendre des mesures plus directives pour assurer la permanence de soins, sur tout le territoire.

 

La lutte contre les déserts médicaux réclame une méthode de concertation, mais aussi du courage et la « loi Hôpital, patients, santé et territoires », n’est pas à la hauteur des enjeux. 

 

Pour le Parti socialiste, cette situation est le résultat du laissé faire de la droite depuis de nombreuses années et appelle à des règles plus contraignantes, comme le plafonnement des nouvelles installations dans les zones surdotées en professionnels de santé.

 

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 18:06

 

Communiqué du 4 mars 2009 de Mireille LE CORRE

Secrétaire nationale à la santé et à la sécurité sociale

 

La santé n’est pas une marchandise, l’hôpital n’est pas une entreprise

 

 

 

Le Parti socialiste soutient la mobilisation du jeudi 5 mars pour la défense et  l'amélioration de l'hôpital public. Il comprend les craintes et préoccupations exprimées par l'ensemble des personnels concernés.

 

Le gouvernement s'attaque à l'hôpital public et ainsi à l'égalité d'accès aux soins. Les menaces qui pèsent dès cette année sur 20 000 postes à l'hôpital et sur tout le territoire sont inacceptables.

L’évolution à marche forcée vers les pratiques d'hôpital « entreprise » mettant en cause les missions de service public est dangereuse pour les patients comme pour les personnels.

 

Le Parti socialiste rappelle son opposition à tout ce qui réduit ou banalise le rôle et la place de l'hôpital public. Il amende en ce moment même au Parlement la loi BACHELOT, refuse les 20 000 suppressions d’emplois, réclame le lancement d'un plan d'urgence d'1,4 milliards d’euros pour la sauvegarde du service public hospitalier et milite pour une vraie démocratie sanitaire et sociale.

 

La droite n’entend pas la légitime critique de sa politique. Pourtant au travers de l’hôpital, pour les socialistes, c’est le service public et l’égalité d’accès aux soins qui sont remis en cause.

 

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 20:13

 

Retrouvez ici tous les communiqués sur la solidarité et la santé


Charlotte BRUN,

Secrétaire nationale aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à la dépendance

- 50 % des retraites sont inférieures au SMIC et 1 million se retrouvent sous le seuil de pauvreté (24/03/09)

- Les retraités de plus en plus sous le seuil de pauvreté (01/04/09)

- Nicolas SARKOZY trahit ses promesse (02/04/09)

- Retraites : Le gouvernement reste sourd (01/04/09)

 


Mireille LE CORRE

Secrétaire nationale à la santé et à la sécurité sociale

           - Le gouvernement s'attaque à l'hôpital public (04/03/09)

           - Le nombre de médecins va diminuer de 10% les prochaines années (04/03/09)

           - Le déficit de la Sécurité sociale frôlera les 15 milliards d’euros en 2009 (18/02/09)

 

Marisol TOURAINE

Secrétaire nationale à la santé et à la sécurité sociale

              - Sécurité social : Le dérapage permanent (22/04/09)


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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 19:56


Communiqué du 24 mars 2009 de Charlotte BRUN,

Secrétaire nationale aux personnes âgées,

aux personnes handicapées et à la dépendance

 

 

 

Retraites complémentaires : le problème du niveau des pensions reste d'actualité

 

 

Le projet de protocole d'accord intervenu à propos des régimes de retraites complémentaires écarte pour l'heure les volontés du Medef : la perspective d’un recul progressif de l’âge d’accès à la retraite complémentaire et le souhait de contourner le principe même de la retraite à 60ans.

 

Le front syndical uni et l'imposante mobilisation du 19 mars dernier sont parvenus à faire reculer le Medef, dans sa volonté d'intimidation et de régression sociale.

 

Pour autant tout est renvoyé à une négociation générale à l'échéance 2010. Pour les socialistes, la vigilance reste donc de mise, car rien n'est définitivement acquis.

 

Au demeurant le Parti socialiste déplore, à travers ce protocole d'accord, la perspective d'une nouvelle baisse des rendements des retraites complémentaires, ce qui va contribuer à une nouvelle diminution du niveau des pensions.

 

Cette tendance est grave, puisque 50 % des retraites sont inférieures au SMIC et qu'un million de retraités se retrouvent sous le seuil de pauvreté.

 

Le Parti socialiste rappelle sa proposition, à travers son propre plan de relance de l’économie par l’investissement et la consommation, d’une revalorisation pérenne des pensions de retraites, notamment par l’indexation sur l’évolution du salaire moyen. Il préconise également une aide immédiate de 500 euros pour tous les allocataires du minimum vieillesse.

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Bienvenue sur le blog du Parti Socialiste de la 2ème circonscription de la Haute Garonne.

Elle est regroupe 14 sections :

Balma, Bessières, Castelmaurou, L’Union, Monstratuc la Conseillère, Montrabe, Pechbonnieu, Quint/Fonsegrives, Saint Géniès, Saint Jean, Villemur et Toulouse 6, 8 et 15.


Dans la circonscription nous comptons beaucoup d’élus dont certains au niveau nationale, le député et maire de Saint Jean, Gérard BAPT et son suppléant Grégory MERELO et Kader ARIF, député européen. Au niveau départemental, nous avons des conseillers généraux, Alain FILLOLA (Toulouse VIII), Claude CALESTROUPAT (Toulouse XV) et André LAUR (Monstractruc la Conseillère) et les 19 conseillers régionaux.


C’est un blog modeste qui se veut avant tout une invitation à nous rejoindre pour venir discuter et débattre «physiquement» de l’actualité, d'idées et des projets (…) pour l'avenir du nord-est de la Haute Garonne. Je vous propose par exemple ces sites qui interpellent.


Il ne tient qu’à chacune et chacun de venir participer au débat et militer à nos côtés pour qu’enfin nous puissions, ensemble, changer la vie. Soyez d’ores et déjà les bienvenus au Parti Socialiste. Vous, vos expériences et vos idées.


- Le dossier du moment : Bisphénol-A

- Lettre ouverte au Président de la République de Ginette Forgues.

- Grippe A H1 N1 par le député Gérard BAPT


Amicalement,


Le délégué de circonscription

Hervé HIRIGOYEN



REJOIGNEZ-NOUS, écrivez nous à :

Fédération PS de la Haute Garonne,

2 Bis rue Lejeune 31000 Toulouse

Tél. : 05.61.23.15.75



 

 


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